Depuis le début du conflit, les Écologistes n’ont eu de cesse d’exiger un cessez-le-feu et la libération sans conditions des otages israéliens détenus par le Hamas.
Le 26 mai dernier, les frappes à Rafah par le gouvernement d’extrême droite israélien, visant un camp de réfugiés déplacés, ont été d’une violence inouïe.
Une fois encore, les images nous ont montré l’inhumanité de ce conflit. Cette guerre atroce est devenue un véritable massacre à l’encontre du peuple palestinien.
La Cour Internationale de Justice a elle-même ordonné au gouvernement israélien d’empêcher tout acte ou discours génocidaire, en vain. Tsahal a accéléré son offensive en bombardant une zone qualifiée par Israël de “zone humanitaire”.
Aujourd’hui, en plus des milliers de blessés, on fait état de plus de 36 000 morts dont 70% sont des femmes et des enfants.
Nous demandons, non seulement un cessez-le-feu immédiat et une libération des otages, mais aussi des sanctions économiques et diplomatiques à l’encontre du gouvernement de Netanyahou.
Le silence assourdissant des médias sur ce génocide ne fait que retarder le processus de paix et la solution à deux États.
À l’instar de l’Espagne, la France doit reconnaitre l’État palestinien et ainsi envoyer un signal politique clair.
L’Union Européenne et le gouvernement français doivent prendre leur responsabilité et condamner aussi fermement les atrocités de Netanyahou, que celles de Poutine.